Causes du mal des transports

Le mal des transports ou cinétose est causé par une opposition des informations fournies par les yeux et celles reçues par le vestibule. (Le vestibule est un organe situé à l’intérieur de l’oreille, c’est l’organe responsable de l’équilibre). À cause de cette opposition, les données envoyées au cerveau sont incohérentes et la réponse donnée par ce dernier est inadaptée. De ce fait, l’organisme ne peut pas s’adapter au mouvement lors du déplacement, comme à son habitude.
Cette affection est plus fréquente quand les mouvements du véhicule sont plus importants. Par exemple quand il y a beaucoup de vague, de turbulence aérienne ou de virage successif. Ce sont les voyages en bateau qui provoquent le plus souvent le mal des transports. Suivie des voyages en avion, puis des voyages en voiture, en bus et en train.

Symptômes du mal des transports

Le mal des transports se manifeste souvent en premier lieu par un simple malaise. Les personnes qui en souffrent ont une sensation de mal-être qui se traduit une pâleur de la face et une somnolence. En second lieu, la personne souffre de nausées et de vomissement accompagné d’hypothermie. Et de tachycardie avec un accroissement de la salivation et de la ventilation pulmonaire. Ainsi que d’une dilatation de la pupille. Et en troisième lieu, bien que rare, le mal des transports se manifeste par une aggravation de ces symptômes. Ce qui peut conduire jusqu’à un arrêt complet ou presque des battements du cœur, entraînant l’arrêt de la respiration et la perte de conscience.

Les conclusions des premières recherches

Le THCP-O a été découvert très récemment en 2021. Il se distingue par sa puissance par rapport à ses prédécesseurs. Il provoque des effets psychotropes plus intenses qu’eux en raison de sa structure chimique modifiée. C’est ce qui intéresse certains dans l’achat de produits à base de THCPO. Les effets potentiels sont nombreux. Par exemple, ces cannabinoïdes pourraient engendrer un état de grande relaxation à faible dose : le consommateur va donc être moins stressé et moins anxieux. Ce produit pourrait aussi stimuler la créativité et réduire la douleur (propriétés analgésiques). Il aurait également une vertu neuroprotectrice. Vu sa forte affinité pour les récepteurs CB1, même une petite quantité de THCP-O peut produire des effets très puissants, équivalents à une dose beaucoup plus élevée de THC. Le risque est donc de consommer par inadvertance une dose trop forte si on se base sur son expérience avec le cannabis classique. La prudence est de mise avec ce composé psychoactif puissant encore mal connu. En clair, ne sous-estimez jamais la puissance du produit.

Présentation du THCP-O

Il est un dérivé semi-synthétique du tétrahydrocannabiphorol (THCP). Cette molécule est une version améliorée du THCP, elle-même une amélioration du THC. Au demeurant, le THCP a une structure moléculaire similaire au THC naturel, mais avec une chaîne alkyle plus longue, ce qui lui confère une affinité de liaison aux récepteurs CB1 environ 30 fois plus élevée que le THC. Résultat, son effet psychoactif est beaucoup plus puissant. Pour en revenir au THCP-O-acétate, il s’agit de la forme acétylée du THCP, tout comme le THC-O-acétate l’est pour le THC. L’acétylation augmente la biodisponibilité de la molécule et modifie légèrement ses effets. Comme la plupart des nouveaux cannabinoïdes de synthèse, le THCP-O-acétate se trouve dans un vide juridique dans de nombreux pays pour le moment.

L’hydrothérapie, quèsaco ?

Étymologiquement, l’hydrothérapie désigne l’ensemble des soins utilisant l’eau comme base des traitements, que ce soit l’eau de mer, l’eau des sources naturelles et même l’eau du robinet. Cependant, l’eau de mer ainsi que l’eau provenant des sources minérales naturelles sont les plus utilisées en hydrothérapie, du fait qu’elles sont plus riches en micronutriments, bénéfiques pour le système immunitaire. Elles contiennent également des éléments dont le corps a besoin pour se régénérer. Les eaux d’origine souterraine sont aussi plus riches étant donné qu’elles sont épargnées de toute pollution.

Les différents soins qu’on peut faire avec de l’eau

Les soins à base d’eau peuvent être pratiqués dans deux principaux cas. Primo, on parle d’hydrothérapie externe lorsque l’eau est mise en contact avec la peau et les muqueuses (douche, bain, baignades, etc.). Secundo, dans le cas où l’eau est introduite dans l’organisme à partir des orifices (nez, bouche, rectum), il s’agit d’une hydrothérapie interne (hydrothérapie du colon…). Selon les maux à soigner et le type de traitement, l’eau est utilisée sous une forme liquide ou gazeuse et à des températures différentes.

Les effets bénéfiques de l’hydrothérapie

À la base, l’hydrothérapie est recommandée dans le cadre d’une rééducation. Toutefois, elle permet aussi d’améliorer la vasomotricité, de stimuler la circulation sanguine, de détoxifier la peau, d’apaiser les douleurs (arthrose, etc.), d’améliorer le fonctionnement de l’appareil digestif et des voies respiratoires, de gérer les troubles de développement de l’enfant, de régénérer les muscles, de perdre les kilos en trop, etc. Actuellement, il existe différents endroits où il est possible de faire des séances d’hydrothérapie comme les spas, les établissements thermaux, chez un hydrothérapeute ou encore dans le cabinet d’un médecin généraliste. Sachez que plusieurs traitements comme la cure thermale sont remboursés par l’assurance maladie en France.

Le THCPO en quelques points

Le THCPO ou l’acétate de tétrahydrocannabiphorol-O est un nouveau cannabinoïde. Voici quelques détails le concernant :
• C’est une molécule qui a une structure chimique particulière. Elle comporte en effet un groupe acétate  » O « .
• C’est une substance active synthétisée à partir du THCP en 2021.
• C’est une nouvelle variété qui a une grande stabilité oxydative et thermique. Ce qui signifie qu’elle a une durée de vie plus longue que le THCP.
• Elle a une très forte affinité avec les récepteurs CB1 du cerveau.
• Elle a des effets psychoactifs plus intenses et prolongés.

Ce qui diffère cette molécule du THC et du THCP

Le THCPO est une molécule semi-synthétique obtenue à partir du THCP. Il a de ce fait une structure moléculaire différente de ce dernier qui, lui, se trouve en petite quantité dans le cannabis.
Sa chaîne latérale, tout comme celle du tétracannabiphorol, est plus longue. Et comme susmentionné, on lui a ajouté un groupe acétate. Ce changement de sa structure chimique lui permet une forte liaison aux récepteurs CB1 et lui confère une puissance accrue par rapport au THC et au THCP.

Les formes disponibles de THCPO

Le tétrahydrocannabiphorol-O se décline sous plusieurs formes :
• Parmi la sélection de produits disponibles sur le marché, il y a les fleurs THCPO : plus exactement, ce sont des fleurs de CBD infusées avec du THCPO.
• Puis, il y a les résines THCPO : ce sont des extraits concentrés de cannabis infusés avec du tétrahydrocannabiphorol-O.
• Enfin, il y a les vapes de THCPO : ce sont des e-liquides composées de THCPO.

Les bienfaits du THCPO

Le tétrahydrocannabiphorol-O est une nouvelle molécule sur le marché. Les chercheurs connaissent surtout sa puissance, mais il est encore assez difficile de déterminer exactement ses bienfaits. D’après les débuts des études sur le THCPO et sa stabilité :
• Il se peut qu’il agisse sur la perception de la douleur. Il permet ainsi de soulager certains maux. C’est sûrement dû à son action psychotrope.
• Il est enivrant et euphorisant. Sa liaison avec les récepteurs CB1 entraîne la libération prolongée de dopamine, l’hormone responsable de la sensation de bien-être.
• Il est aussi possible qu’il calme le stress, toujours grâce à sa fixation aux récepteurs CB1.
• Il facilite l’endormissement, car il permet de se détendre et rend somnolent.
• Il est également probable qu’il réduise l’inflammation.

Des recherches approfondies sont encore nécessaires pour démontrer l’efficacité et les effets indésirables de cette molécule. Justement, elle est encore au centre des recherches des scientifiques, ce qui est très prometteur.

Les effets secondaires de ce cannabinoïde

Il est important de suivre de près le THCPO à cause de sa puissance. Il n’est surtout pas destiné aux novices en matière de cannabis. Au vu de ses effets, les scientifiques ont aussi pu prédire ses effets secondaires, qui sont similaires à ceux du THC, comme :
• La bouche sèche est due à la diminution de la sécrétion de salive.
• L’augmentation de l’appétit encore appelée la  » faim chimique « .
• La somnolence : à cause de ses effets qui peuvent durer à peu près 8 heures.
• La paranoïa : elle est sûrement due à la réaction de l’organisme à la production dérégulée de dopamine. Le corps corrige en effet cette surproduction en la freinant. Le manque de dopamine dans le sang entraîne ensuite une sensation de mal-être suivi de beaucoup d’angoisses.
• Les yeux rouges sont causés par la dilatation des vaisseaux sanguins au niveau des yeux.

La légalité du THCPO

Concernant la légalité du tétrahydrocannabiphorol-O, elle varie d’un pays à un autre. Il est actuellement légal en France. Il n’est pas en effet interdit ou régulé par la loi française. Il est cependant essentiel de se renseigner sur les réglementations en vigueur, car elles peuvent vite évoluer.

Il ne faut pas non plus oublier que cette molécule est fortement déconseillée à certaines personnes, surtout aux mineurs, aux femmes enceintes et allaitantes, aux conducteurs et aux individus ayant des antécédents de troubles mentaux.

De petits gestes pleins d’amour

Rendez-leur visite régulièrement, appelez-les souvent et écoutez-les attentivement quand ils vous parlent. Montrez-leur que vous vous intéressez à leur vie et soyez à l’écoute de leurs préoccupations. Mais en plus, aidez-les dans leurs tâches quotidiennes. Par exemple, proposez-leur de faire leurs courses, de les accompagner à leurs rendez-vous chez leur médecin, de les aider dans l’entretien de leur maison ou celui du jardin. C’est une façon de leur témoigner de la gratitude. Remerciez-les pour tout ce qu’ils ont fait pour vous, dites-leur que vous les aimez et appréciez. De petites attentions comme des cadeaux, des photos ou des mots doux leur feront plaisir.

Acceptez leur invitation à pratiquer avec eux les loisirs qu’ils apprécient. Les activités de loisir des personnes âgées sont assez simples : jouer à des jeux de société, regarder des films, aller en promenades, faire des sorties culturelles, etc. Par ailleurs, aidez-les à maintenir des liens sociaux, par exemple, en invitant famille et amis à une réunion où ils seront eux aussi présents. Renseignez-vous sur les activités seniors près de chez eux pour les y emmener. Soyez patient chaque fois que vous êtes avec eux. Ils doivent se sentir rassurés lorsqu’ils sont en votre présence. Votre présence bienveillante est essentielle. Votre soutien contribue à leur bien-être.

Lorsque la personne devient dépendante

En EHPAD, la fin de vie de votre proche âgé se fera dans la sérénité. Il faut dire que l’ambiance d’un hôpital est anxiogène. Ce n’est pas l’environnement le plus approprié pour finir paisiblement ses jours. Tant qu’elle est encore en possession de ses facultés cognitives, mais que son état se dégrade, proposez-lui d’aller en EHPAD à moins que ce soit elle qui en prenne l’initiative. L’EHPAD est intéressant si vous n’avez pas les moyens « logistiques » ni le temps de vous occuper d’une personne âgée dépendante. En revanche, vous devez lui promettre d’aller lui rendre visite tous les jours et tenir cette promesse coûte que coûte. Prenez en charge le coût de l’EHPAD si vous avez les moyens financiers. Ou alors, proposez aux autres membres de son entourage de faire une cotisation mensuelle. Si elle continue à vivre dans son domicile, soyez attentif à ses besoins. Réaménagez leur logement si c’est nécessaire (par exemple : installation d’un monte-escalier). Si besoin, accomplissez les démarches auprès de l’administration pour obtenir de l’aide au financement des travaux. Veillez à la sécurité et aux conforts de cette personne que vous aimez plus que tout, et dont la santé devient chancelante.

Lorsqu’elle arrive en fin de vie

Il est humain de vouloir que ses proches soient rétablis et continuent d’être à ses côtés. Mais il y a aussi un côté égoïste dans cette façon de penser. Si votre proche émet le souhait de ne pas faire l’objet de l’acharnement thérapeutique, ne vous y opposez pas. Respectez ce souhait. D’ailleurs, la loi française prévoit des dispositions pour que la personne malade ou en fin de vie oblige son entourage à accepter ses directives qui lui évitent l’acharnement thérapeutique.

Les sources des défauts

Des défauts liés à la configuration du globe oculaire sont en général à la source des problèmes de vue. Mais ces problèmes peuvent eux-mêmes provenir de mauvaises habitudes. La première parmi celles-ci est sans conteste la tendance à lire trop près en se penchant très près des livres ou cahiers. Dans le temps, les enseignants corrigeaient l’attitude des élèves à coup de baguette mais actuellement, ils sont moins exigeants. D’ailleurs, la grande préoccupation actuelle est passé du livre à l’écran qui envahit le monde, en ayant passé du téléviseur à la tablette, puis au portable. A titre de rappel, la distance préconisée pour la lecture est de 1,5 fois l diamètre de l’écran.
Chez d’autres, des problèmes liés à l’alimentation ou à la prise de substances actives favorisent la dégradation de l’œil.

Les risques d’aggravation

Dans ces situations, des phénomènes de troubles de la vue peuvent survenir brutalement et nécessiter des consultations spécialisées. Parmi ces phénomènes, les points noirs mobiles ou « mouches volantes », les lignes déformées, le refus de lumière, sont des symptômes assez courants, qu’on considère banaux. Or, tous ces problèmes sont susceptibles de se dégrader et de conduire jusqu’à la cécité par une dégénérescence maculaire liée à l’âge, ou par un décollement de la rétine, par exemple.
Dans tous les cas, il y a des catégories de personnes à risques qui doivent prendre des précautions particulières pour sauvegarder leur vision. Ce sont les personnes hypertendues, les obèses et les diabétiques qui sont plus susceptibles de développer une rétinopathie. Il faut aussi se rappeler que la configuration de l’œil étant héréditaire, les personnes qui ont des parents atteints de pathologies oculaires, de glaucome par exemple, peuvent constituer des terrains favorables au développement des mêmes maladies.

Comment faire pour gérer votre stress ?

Le stress a ses bons côtés s’il est en petite dose. Cependant, trop de stress nuit à la santé, autant physique que mentale. Mais le stress fait partie intégrante de la vie, donc, il faut apprendre à le gérer. Premièrement, essayez de dormir suffisamment chaque nuit, cela va améliorer votre productivité. Deuxièmement, faites de l’exercice régulièrement, le sport produit de l’endorphine et de la sérotonine, les fameuses hormones du bien-être. Une autre manière de réduire votre stress, c’est de pratiquer la méditation. C’est un bon moyen pour améliorer votre concentration et pour faire place nette dans votre esprit. Autant que possible, riez, tout simplement. Cherchez des occasions de rire, cela va réduire votre anxiété et provoquer des émotions positives. Et si vous aimez écrire, tenez un journal où vous coucherez vos préoccupations et les pensées qui vous perturbent.

Le CBD pour combattre le stress

Vous trouverez sur ce site divers articles sur le cannabidiol ou CBD. Le CBD agit sur l’anxiété et le stress, vous devriez vous y intéresser. C’est une molécule active qui est aussi un antidépresseur et un anxiolytique. Des études ont prouvé que le CBD est bénéfique pour les personnes sujettes aux crises d’angoisse et au stress chronique. Le fait est que le CBD favorise la production de sérotonine, donc, la relaxation et la bonne humeur. Pour toutes ces raisons, le CBD est appelé « l’hormone du bonheur ». Il agit sur votre bien-être général, sur votre moral et votre mental. Il impacte aussi votre libido et même votre appétit. Avec le CBD, vous allez mieux dormir si le stress vous cause des insomnies ou des troubles du sommeil. Vous vous endormirez plus vite et votre sommeil sera plus profond. Le CBD est une solution naturelle, donc sans effets secondaires, pour trouver l’apaisement et vivre moins stressé.

Décès causé par le coronavirus, qu’en est-il des obsèques ?

Au plus fort de la pandémie, le nombre des participants aux cérémonies funéraires était fortement limité. Que ce soit à l’église ou dans tout autre lieu de culte, souvent, la famille et les proches étaient les seuls admis. Cependant, aujourd’hui, il n’en est plus rien, les restrictions concernant le nombre des participants ont été levées. Celles concernant le nombre de participants dans les cimetières ont également été annulées.

Au mois de février dernier, le Haut Conseil de la Santé Publique a fait une déclaration intéressante à ce sujet. Il a annoncé que ceux qui transportent les corps des personnes mortes du coronavirus ne courent pas le risque d’être contaminés. Même quelques heures après le décès, le risque d’infection est très faible, et dans les 12h qui suivent, ce risque est quasi nul.

Maintenant, comment ça se passe dans un funérarium ?

Il n’y a pas non plus de restriction du nombre de participants. Néanmoins, tout dépend du funérarium parce que la distanciation doit tout de même être respectée. Si l’endroit n’est pas très spacieux, une jauge maximum de personnes peut être exigée par le funérarium. Pour l’enterrement proprement dit, les cimetières sont désormais ouverts et ce, sans limite de jauge.

Évidemment, si un pic de cas positifs survient dans votre ville ou votre région, montrez-vous responsable. Sinon, le déroulement des funérailles peut se faire comme vous le souhaitez ou selon la volonté du défunt, que vous choisissiez de le faire vous-même ou de le confier à une entreprise de pompes funèbres. Vous êtes tout à fait libre de respecter le programme prévu. Renseignez-vous sur carnet.leparisien.fr pour mieux organiser les funérailles de votre proche.

D’autres consignes concernant les obsèques d’un proche décédé de la Covid-19

Est-ce qu’il est prévu que votre proche décédé subisse la crémation ? Sachez qu’il n’y a pas de jauge limite dans le lieu de crémation, c’est à chacun de respecter les distances. Le Haut Conseil de la Santé Publique a donné un avis favorable en début d’année. C’est en rapport avec le délai de crémation après la fermeture du cercueil.

Depuis janvier dernier donc, ce délai est allongé de 6 à 14 jours, une mesure qui peut être annulée, selon les circonstances. Mais ce délai peut être prolongé dans des cas particuliers et uniquement avec l’accord du préfet. Est-ce que vous vous posez des questions sur la toilette mortuaire et les soins de conservation du corps ? En fait, si le médecin constatant le décès suspecte la Covid-19, il doit procéder à un test antigénique sur le défunt.

En principe, les mesures d’hygiène habituelles doivent être prises avant la mise en bière. Et bien sûr, depuis le décret du 22 janvier 2021, vous et votre famille pouvez voir le corps de votre proche décédé. La mise en bière immédiate du défunt atteint de Covid-19 qui était de rigueur n’est plus obligatoire. Bien sûr, vous, votre famille et vos amis devez respecter les mesures barrières imposées par le lieu où se trouve le défunt.

Les premières démarches administratives obligatoires

Dès le décès de votre proche, vous devez en faire la déclaration pour qu’on vous établisse un acte de décès. Notez qu’il vous en faut 2 pour la succession. Pour ce faire, rendez-vous à la mairie avec un certificat médical déclarant le décès et une pièce d’identité du défunt. Emmenez votre propre pièce d’identité et le livret de famille du défunt. Si celui-ci est mort dans une maison médicalisée ou à l’hôpital, le personnel peut se charger du certificat de décès.

Dans les 48h suivant le décès, informez la compagnie d’assurance si le défunt était titulaire d’une assurance obsèques ou d’un contrat quelconque. Contactez une entreprise de pompes funèbres parmi celles proposées sur pompes-funebres.info pour avoir toutes les informations concernant l’inhumation. Comparez les offres de plusieurs agences avant de vous décider. Prévenez l’employeur du défunt ou Pôle Emploi si ce dernier était demandeur d’emploi et percevait des allocations.

D’autres formalités importantes en cas de décès d’un proche

Faites des recherches pour savoir s’il y a un caveau familial. Si ce n’est pas le cas, vous devez faire l’acquisition d’une concession funéraire. Procurez-vous un document prouvant que vous êtes héritier/ère. C’est important pour clôturer le compte bancaire du défunt, pour les actes conservatoires, etc. Dans les 7 jours suivant le décès, demandez le blocage des comptes du défunt et ses autres contrats, téléphonique, EDF, etc.

Informez le bailleur pour mettre fin à la location si le défunt était locataire. Prévenez les locataires s’il était propriétaire afin de leur communiquer les coordonnées du nouveau receveur. Si le défunt était retraité, informez la caisse de retraite. Cherchez à savoir s’il avait des créances, des dettes, des crédits à rembourser auprès de la banque, etc.

Suivre le processus du deuil

Le deuil et le chagrin sont un processus que l’on doit suivre. Il est généralement défini comme suit :

. Le déni

Au départ, votre expérience est incompréhensible. Vous avez du mal à l’accepter et tout tourne mal.

. La colère

Lorsque vous êtes face à la situation et que vous réalisez ce qui vous arrive, vous ressentez de la colère. Elle peut être dirigée contre les autres personnes comme les médecins.

. La dépression

La tristesse et le lourd chagrin sont normaux. Mais durant cette phase, vous avez l’impression que tout ne sera plus comme avant et vous vous demandez comment vous vous en sortirez sans la personne.

. L’acceptation

La dernière étape du deuil est l’acceptation. Vous êtes prêt à accepter la perte et vivre avec. Bien que la douleur soit présente, vous serez capable de prendre plus de recul afin de mieux la gérer.

Retrouver la force de continuer à vivre

Le deuil d’un ami proche ou d’un parent peut prendre des mois ou même des années pour certaines personnes. Mais certaines études montrent que cette période peut aider les personnes à trouver une toute autre direction dans leur vie.

Parlez du décès de votre proche à des amis ou des collègues afin de vous aider à surmonter cette épreuve et n’hésitez pas à faire part de vos sentiments. Pour pouvoir continuer, commencez par faire des petites activités qui vous intéressent et essayez de retrouver votre équilibre. N’hésitez pas à voir des personnes, surtout celles que vous appréciez, et à avoir une vie sociale.

Si vous vous sentez bloqué ou submergé par des émotions contradictoires, vous devez parler à un psychologue ou à un autre professionnel. Ce dernier saura vous conseiller sur la bonne marche à suivre et les thérapies adaptées en fonction de l’état d’esprit dans lequel vous êtes.

Solliciter les services d’une thanadoula

Dans le contexte encore tabou de la mort, une thanadoula saura vous aider. Ce spécialiste de l’accompagnement en fin de vie est en mesure de vous conseiller et de vous aider à surmonter la mort d’un proche. Ce professionnel vous accompagne avant, pendant et après la mort d’un proche. Durant ces moments clés, il répondra à toutes vos questions et démystifiera certains aspects. Si vous voulez savoir les différentes missions et rôles de ce spécialiste, consultez le site de Thanadoula.fr.

Grâce à ses compétences, il pourra mettre tout le monde à contribution afin de réaliser les dernières volontés de la personne en fin de vie. Cela donnera l’impression aux proches d’avoir accompli ses dernières volontés et qu’elle soit partie en étant heureuse. Les proches seront également plus soulagés et pourront facilement surmonter les différentes phases du deuil.